Da una lettera della regista Rachel Salik a Maricla Boggio
Paris, le 27 oct. 97
“(...) Dès que j’ai lu votre “Religieuse Portugaise” je me suis enthousiasmée et je ferai tout ce que je peux pour monter cette pièce qui “rafraîchit” l’idée qu’on en a.
Les lettressous forme de monologue ont étées représentées des dizaines de fois en France. Mais cette nouvelle version permet une théåtralité, une dynamique qui, jusqu’alors n’existait pas.
(...) j’ai réuni une équipe qui me semble excellente pour la “mise en espace” et nous ferons de notre mieux pour donner de votre pièce, une ébauche qui soit à la hauteur de votre talent”.
La pièce
“Une religieuse cloîtrée dans un couvent en Portugal depuis l’âge de douze ans fut séduite par un officier de marine français qui passant par là... Nous sommes en 1668. Sous l’étiquette du XVIIème siècle, sous le corset de la religion, une femme souffre et pleure son amour perdu. Elle écrivit cinq lettres d’amour. Cinq lettres come le cinq blessures du Christ...”
Rachel Salik